Tandem - Génération Sans Repères paroles de (lyrics)
[Tandem - Génération Sans Repères paroles de lyrics]
Perdu sur les berges du désespoir
Génération qui n'en a plus rien à battre
Qui croit que le pouvoir
C'est de claquer ses tunes
Avec des pouffiasses et j'en passe
Dans ma vie trop de mauvaises passades
Et de passages au bagne
Y a que Dieu qui me fait peur et
Je veux que mes ennemis le sachent
La vie c'est pas de jouer les
Fous sur une putain de prod
La rue c'est dur et pour souffrir il
Ne faut pas être à la mode
C'est super nul de croire qu'on a tout perdu
On ne construit pas sa vie
En traînant des rancunes
À nous les pauvres, on nous
A coupé les vivres, la faute à Sarkozy
Y a trop de schtars pour
Faire sa maille tranquille
Enquille vite une autre vie y a trop
De pv sur les routes du crime
Le larfeuille vide
Tu ne vois pas qu'on a l'instinct de survie?
Beaucoup tiennent bons grâce
Aux aides sociales
Insociable faut qu'on se batte
Pour qu'on soit stable
Ça c'est le cas de mon staff
A ce stade faut éviter les
Keufs comme les mauvais endroit's
Et pour du taf
Faut faire la queue comme nos
Daronnes à la CAF fight club cérébral
Les jours s'achèvent, aujourd'hui
Tout s'achète
Du je t'aime aux petit's sachets
Mais c'est la dèche à ce qu'on dit y
A trop d'armes et de drogues dures
De procureurs qui nous fracturent le crâne
À coup de lourdes peines
Joue pas la forte tête
Je vais pas te refaire mon
Histoire en deux trois phases
Tire sur deux trois taffes et laisse
Toi kiffer par ma vibe
Sur Babylone on fait du bizz
Pour financer nos projets
Pendant que le sang coule sur les
Bords des fleuves d'une Afrique blessée
Je pense à mes racines
À mes frères au village
Qui n'ont que très peu de choses
Pourtant je lis de la joie sur leurs visages
Mon paysage, ce n'est que des bâtiments
Des Nike air et des châtiments
Je te crache mon rap sauvage pour
Faire kiffer mon gang petit
Si tu frappes ton prof t'auras plus d'école
Tu n'auras que la déconne
La rue et ses codes pour t'éduquer
Un narco-beat pour se lâcher j'en
Ai marre qu'on me dise:
"T'inquiète So' tu vas tout niquer dans
Ce putain de rap biz'"
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent après leurs pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent leurs après pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
Dans mon précipice y
Aucune assistance publique
Encore moins d'esprit résistant
Faut que je prenne mes distances eh ouais
C'est triste d'être dans l'impasse mais
Où est ton Christ? Ça me lasse toutes ces
Cérébrales prises d'otages
Cette vie normale qui me pousse
À fond dans le précipice
Alors je ne m'attarde pas
Sur les tares inutiles
Faut que je me barre et me cultive
Putain, trop de baratin, c'est improductif
Y a des mecs qui sont
Fait's pour et d'autres non
Renonce vite avant de te prendre une balle
T'enfonces pas car la poisse te loupera pas
Elle est trop vive pour
Laisser passer tes conneries
Elle est trop attentive pour compatir
Trop dominatrice pour s'attendrir
Tu veux vivre mon kiff alors
Viens vivre mon drame
Roule vite un spliff que je t'en parle
Sache que y a rien de bon
Dans la vie de coupable
Putain je me sens partir
Trop réactif peut-être aux antipathiques
On reste sobre dans la pratique vu
Que c'est trop facile de l'être
On se voue au trou vu qu'on se fout de
Tout eh ouais c'est plus
L'époque des babacools
On te juge rien qu'à ta coupe et j'compte
Plus le nombre de putes prêtes à tout
On t'avait pas dit
Faut que tu cotises pour un taudis
Autrement dit faut que tu te tues
À la tâche pour un penny
Demande à Arlette ce qu'elle en pense
Elle te dira qui est l'innocent
On se neutralise en espérant être conscients
On se civilise en se
Rapprochant de la trentaine
On met la haine de côté
On s'insurge quand ça en vaut la peine
Je te jure qu'on ne veut
Plus être à la traîne
Je ne vais pas laisser une
Merde contrecarrer mes plans
D'autant plus que l'on n'a
Plus la rage d'antan
Putain j'en ai marre de t'entendre
Alors on se contente d'un gros
Portable et d'une situation minime
Dans l'espoir de prendre sa part
Avant que ça barde
Je reste sur mes gardes bien que ça tarde ce
Qui nous arrive ce n'est pas le hasard
On est trop laxiste dans la matrice
Trop intégriste dans mon possee
Alors si je dois perdre du temps
Je préfère le faire libre
La tradition a tellement fait de conneries
Dans cette histoire que je m'enivre
Alors je combats mon désespoir à coups de
Jacko trop de sales blackos jactent
Y'a trop de flicailles alors
Vote contre Sarko
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent après leurs pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent leurs après pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
Génération qui n'en a plus rien à battre
Qui croit que le pouvoir
C'est de claquer ses tunes
Avec des pouffiasses et j'en passe
Dans ma vie trop de mauvaises passades
Et de passages au bagne
Y a que Dieu qui me fait peur et
Je veux que mes ennemis le sachent
La vie c'est pas de jouer les
Fous sur une putain de prod
La rue c'est dur et pour souffrir il
Ne faut pas être à la mode
C'est super nul de croire qu'on a tout perdu
On ne construit pas sa vie
En traînant des rancunes
À nous les pauvres, on nous
A coupé les vivres, la faute à Sarkozy
Y a trop de schtars pour
Faire sa maille tranquille
Enquille vite une autre vie y a trop
De pv sur les routes du crime
Le larfeuille vide
Tu ne vois pas qu'on a l'instinct de survie?
Beaucoup tiennent bons grâce
Aux aides sociales
Insociable faut qu'on se batte
Pour qu'on soit stable
Ça c'est le cas de mon staff
A ce stade faut éviter les
Keufs comme les mauvais endroit's
Et pour du taf
Faut faire la queue comme nos
Daronnes à la CAF fight club cérébral
Les jours s'achèvent, aujourd'hui
Tout s'achète
Du je t'aime aux petit's sachets
Mais c'est la dèche à ce qu'on dit y
A trop d'armes et de drogues dures
De procureurs qui nous fracturent le crâne
À coup de lourdes peines
Joue pas la forte tête
Je vais pas te refaire mon
Histoire en deux trois phases
Tire sur deux trois taffes et laisse
Toi kiffer par ma vibe
Sur Babylone on fait du bizz
Pour financer nos projets
Pendant que le sang coule sur les
Bords des fleuves d'une Afrique blessée
Je pense à mes racines
À mes frères au village
Qui n'ont que très peu de choses
Pourtant je lis de la joie sur leurs visages
Mon paysage, ce n'est que des bâtiments
Des Nike air et des châtiments
Je te crache mon rap sauvage pour
Faire kiffer mon gang petit
Si tu frappes ton prof t'auras plus d'école
Tu n'auras que la déconne
La rue et ses codes pour t'éduquer
Un narco-beat pour se lâcher j'en
Ai marre qu'on me dise:
"T'inquiète So' tu vas tout niquer dans
Ce putain de rap biz'"
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent après leurs pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent leurs après pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
Dans mon précipice y
Aucune assistance publique
Encore moins d'esprit résistant
Faut que je prenne mes distances eh ouais
C'est triste d'être dans l'impasse mais
Où est ton Christ? Ça me lasse toutes ces
Cérébrales prises d'otages
Cette vie normale qui me pousse
À fond dans le précipice
Alors je ne m'attarde pas
Sur les tares inutiles
Faut que je me barre et me cultive
Putain, trop de baratin, c'est improductif
Y a des mecs qui sont
Fait's pour et d'autres non
Renonce vite avant de te prendre une balle
T'enfonces pas car la poisse te loupera pas
Elle est trop vive pour
Laisser passer tes conneries
Elle est trop attentive pour compatir
Trop dominatrice pour s'attendrir
Tu veux vivre mon kiff alors
Viens vivre mon drame
Roule vite un spliff que je t'en parle
Sache que y a rien de bon
Dans la vie de coupable
Putain je me sens partir
Trop réactif peut-être aux antipathiques
On reste sobre dans la pratique vu
Que c'est trop facile de l'être
On se voue au trou vu qu'on se fout de
Tout eh ouais c'est plus
L'époque des babacools
On te juge rien qu'à ta coupe et j'compte
Plus le nombre de putes prêtes à tout
On t'avait pas dit
Faut que tu cotises pour un taudis
Autrement dit faut que tu te tues
À la tâche pour un penny
Demande à Arlette ce qu'elle en pense
Elle te dira qui est l'innocent
On se neutralise en espérant être conscients
On se civilise en se
Rapprochant de la trentaine
On met la haine de côté
On s'insurge quand ça en vaut la peine
Je te jure qu'on ne veut
Plus être à la traîne
Je ne vais pas laisser une
Merde contrecarrer mes plans
D'autant plus que l'on n'a
Plus la rage d'antan
Putain j'en ai marre de t'entendre
Alors on se contente d'un gros
Portable et d'une situation minime
Dans l'espoir de prendre sa part
Avant que ça barde
Je reste sur mes gardes bien que ça tarde ce
Qui nous arrive ce n'est pas le hasard
On est trop laxiste dans la matrice
Trop intégriste dans mon possee
Alors si je dois perdre du temps
Je préfère le faire libre
La tradition a tellement fait de conneries
Dans cette histoire que je m'enivre
Alors je combats mon désespoir à coups de
Jacko trop de sales blackos jactent
Y'a trop de flicailles alors
Vote contre Sarko
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent après leurs pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames
J'ai trop de frères au bagne
Des mères qui pleurent aux parloirs
Des femmes seules et des gosses
Qui cherchent leurs après pères
Génération sans repère
Solitaire, on se croit solidaire
Mais sous les draps t'es saoulé
De tous ces drames