Tiitof, Jacob Desvarieux - Interlude II paroles de (lyrics)

Une goutte de Hennessy, et tout passe tout
Sauf le goût amer que laisse la solitude et
En arrivant ici, en France
C'est la seule qui t'ouvre grand
Les bras d'abord le
Liant rien d'autre que le regard des
Gens qui te rappelle qu'ici
Tu n'es qu'un étranger de plus des jours, des
Nuit's, avec cette terrible
Sensation qu'au fond, le mal
Du pays est bien plus
Fort que l'envie d'ailleurs

Et puis les jours deviennent des nuit's
Et puis le manque laisse la place à
L'excès voici venu le
Temps où les rêves doivent
Impérativement se transformer
En réalité et à partir du moment où quand
Y parvenir tous les moyens sont bons
La suite est inévitable au vu de tous les
Sacrifices pour en arriver là
Qui n'irait pas jusqu'au bout? Quitte à
Rester droit au milieu du
Chaos, les yeux fermés
Sur le béton je n'ai pas changé
Je n'ai pas changé ayin pa changé