Veence Hanao - Faut bien qu'ils brillent paroles de (lyrics)
[Veence Hanao - Faut bien qu'ils brillent paroles de lyrics]
J'ai vu dans l'fond d'ce dernier verre
Qu'il était temps pour rentrer seul
Ou que demain regretterait hier
Si ces mains-là me réveillaient
Si ces lèvres-là me bredouillaient
Qu'il était temps de rentrer seul
Les petites heures parleraient vrai
J'croiserais d'autres marchands d'sueur
Ébloui d'phares de caisses hurlantes
Je rentre en sifflant, presque content
J'ai pas c'goût âpre en bouche
J'suis qu'un peu coupable, sans doute
D'où vient c'sourire qui nous anime
Quand d'autres yeux s'allument
Tu flirtes avec la limite
Elle peut rougir et ses flatteries
T'excitent ou te rassurent
Tu flirtes avec la limite
Faut bien qu'ils brillent de quelque chose
Nos yeux
Non c'est pas tant la question
De viser ou pas
Je veux dire, tu vas dans un endroit
Tu décroches un regard
Un sourire ou juste un
Juste un geste quelconque
C'est humain, c'est naturellement gratifiant
C'est quoi la limite entre ça et
Une discussion aussi intéressante soit elle
Qui n'est pas spécialement basée sur un
Rapport de séduction, tu vois
Mais dans laquelle tu sens que ça pourrait
Aller plus loin si tu le voulais?
Au coin d'une rue, j'ai retrouvé c'pote
Cette route nous saluerait
D'user nos semelles mortes
Aux heures si salutaires
Aux heures des solitaires
Mon pote est un cylindre qui
M'vend des idées claires
J'achète de ces éclairs qui
Paraissent tant "Lumière"
Qu'j'ai l'impression d'y croire
Je compte les réverbères
Puis repense à ces courbes
Revois ma trajectoire
Je repense à ces couplets
À revivre cette histoire
Me demande une fois sur
Scène qui s'y intéressera
Repense à la poupée, la pute ou la maman
La mort ou la lavande
Les salauds qui la chantent
Je repense à ce fragile fil magique
À cette danse de petite catin
À ses petites manies
(Hein) Tu flirtes avec la li-mite
Il faudrait vibrer pour vivre
Qu'il était temps pour rentrer seul
Ou que demain regretterait hier
Si ces mains-là me réveillaient
Si ces lèvres-là me bredouillaient
Qu'il était temps de rentrer seul
Les petites heures parleraient vrai
J'croiserais d'autres marchands d'sueur
Ébloui d'phares de caisses hurlantes
Je rentre en sifflant, presque content
J'ai pas c'goût âpre en bouche
J'suis qu'un peu coupable, sans doute
D'où vient c'sourire qui nous anime
Quand d'autres yeux s'allument
Tu flirtes avec la limite
Elle peut rougir et ses flatteries
T'excitent ou te rassurent
Tu flirtes avec la limite
Faut bien qu'ils brillent de quelque chose
Nos yeux
Non c'est pas tant la question
De viser ou pas
Je veux dire, tu vas dans un endroit
Tu décroches un regard
Un sourire ou juste un
Juste un geste quelconque
C'est humain, c'est naturellement gratifiant
C'est quoi la limite entre ça et
Une discussion aussi intéressante soit elle
Qui n'est pas spécialement basée sur un
Rapport de séduction, tu vois
Mais dans laquelle tu sens que ça pourrait
Aller plus loin si tu le voulais?
Au coin d'une rue, j'ai retrouvé c'pote
Cette route nous saluerait
D'user nos semelles mortes
Aux heures si salutaires
Aux heures des solitaires
Mon pote est un cylindre qui
M'vend des idées claires
J'achète de ces éclairs qui
Paraissent tant "Lumière"
Qu'j'ai l'impression d'y croire
Je compte les réverbères
Puis repense à ces courbes
Revois ma trajectoire
Je repense à ces couplets
À revivre cette histoire
Me demande une fois sur
Scène qui s'y intéressera
Repense à la poupée, la pute ou la maman
La mort ou la lavande
Les salauds qui la chantent
Je repense à ce fragile fil magique
À cette danse de petite catin
À ses petites manies
(Hein) Tu flirtes avec la li-mite
Il faudrait vibrer pour vivre