Veence Hanao - J'espère et j'exècre paroles de (lyrics)
[Veence Hanao - J'espère et j'exècre paroles de lyrics]
"Tout va bien j’vais mal"
Et j’espère que j’espère que
Je respire toujours
Comme pour annuler ces mots parce
Qu’ils me brûlent la bouche
Oui j’avoue le bouche à bouche
Avec le diable ment
Tout ce qu’on peut briser de naïfs
Dans les étables humaines
J’vois beaucoup de bads trips
Qu’elles nous écrivent de loin, tout va bien
J’vais mal
Mais je respire toujours parce qu’il
Me brûle la bouche
J'espère que j’espère qu’on existe
Puis j’espère que j’exècre cette rime
Je l’exècre, belle prise, je respire
Je l’espère perplexe, verre vide et j’espère
Que t’espères que j’existe
Puis j’espère ouais que t’exècres cette rime
Je l’exècre, belle prise, je respire
J’espère, extrême, perplexe, verre vide
J’espère que t’espères que je respire
Que t’exècres que j’existe
Mais c’est ce qui me fait
Dire qu’on est vrai, plaît-il?
Que tu m’aimes et que tu te tires
Ce n’est qu’un tunnel vers notre île
Il pluriel, notez que je suis de ceux
Qui rêvent donc qui saignent
Ton rimmel mélangé au gout des larmes
Accident de parcours, deux victimes
On a pas retrouvé l’arme
J’parle de ça pourquoi? J’sais même plus
J’crois que c’est pour toi mais j’ai bu
Boulevard du beau début puis
C’est le trou noir
Dans ce bouche à bouche avec le diable ment
On aime goûter à tout ce
Qu’on peut briser de naïf
S’il en reste en nous
Dans les étables humaines
Les vidanges à la mer contiennent
Beaucoup de bad trip
Surtout qu’elles choisissent bien leur plage
Qu’elles nous écrivent de loin
Sur la mienne j’écris en rouge:
"Tout va bien j’vais mal"
Et j’espère que t’espères que
Je respire toujours
Comme pour annuler ces mots parce
Qu’ils me brûlent la bouche
Oui j’avoue le bouche à bouche
Avec le diable ment
Tout ce qu’on peut briser de naïfs
Dans les étables humaines
J’vois beaucoup de bads trips
Qu’elles nous écrivent de loin, tout va bien
J’vais mal
Mais je respire toujours parce qu’il
Me brûle la bouche
Bon, on se planque, on se plaît, on s’mange
N s’lève
On s’plante, on se relance, on se replante
J’me remets je me relève dans le tunnel du
Tu m’aimes et tu m’tues
Si cruellement comme si
Nos prunelles mentaient
On s’épuise d’essuyer
Les supplices d’essayer
On ne sait plus ce qui est seyant
On ne sait plus qui est safe
Ils s’épousent en signant
Tu découvres en saignant
Les dépouilles de leurs mots pour toujours
Puis tu revis dans les
J’espère, j’espère qu’on existe
Puis je m’exècre, perplexe, verre vide
Quelque part
Quelqu’un espérait-il que j’existe?
Tu l’espères, c’est superbe
Tu respires comme si ça te redonnait sens
Tu trouves l’étincelle qui ravive
Comme une adulescence
Torche humaine cherche sens comme
Si c’était deux naissances
Du drôle de ceinture en vue d’un crash test