Wojtek, Vida Breve , Lunik Grio’ - Encore un soir paroles de (lyrics)
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[Wojtek, Vida Breve , Lunik Grio’ - Encore un soir paroles de lyrics]
Encore un soir où il pleut des plumes
De l’encre sur l'impair éclates un cône
Sous ce clair de lune
La ville s’endort, s’éveillent mes muses
Leur cul dans l’cendar et
Leurs foutus murmures
Un djembe sous la poitrine
Un griot dans la gorge
Une aura de rappeur que j’transpire
Par tous les pores tu peux me porter l’œil
Concocter tous les sorts
Jamais tu ne souilleras ce
Temple qu’est mon corps
Piégé entre le réel et le rêve
Le cruel et le miel
L’influence où l’amour parlée par nos lèvres
J’essaie d’être à l’image de ce que j’prêche
Mais c’est raturer les pages
La plume et la chair fraîche
Effet de serre spirituel, sécheresse spinéale
Jeunesse sans repère en quête d’idéal
Le tube cathodique enchaîné à leurs cranes
Méthodiquement applique ce que dicte l'image
Encore un soir où il pisse des glaives
De l’encre sur la peau
Mes poèmes vomissent mes rêves
Ma voix s’endort et rase les murs
Le silence est d’or comme ma foutue armure
Marteau et enclume
Une fournaise dans la gorge
Un charisme animal
La bête est sortie de sa forge
A l’aide de quelques feuilles
Et quelques métaphores
J’ai métamorphosé ma caverne en
Un château fort
Piégé entre la matière et l’esprit
Les éléments s’impriment
Mais le cœur à beau prier, il crie au crime
J’essaie d’être à la hauteur de mes lettres
Mais au vu d'mes dérapages
C’est mort il faut bien l’admettre
Sortilège et rituel, autel et piédestal
Un stylo et une aurore boréale
L'ombre de géants, j’ai dû m’habituer
J’crois tout simplement à
Me laisser manipuler
De l’encre sur l'impair éclates un cône
Sous ce clair de lune
La ville s’endort, s’éveillent mes muses
Leur cul dans l’cendar et
Leurs foutus murmures
Un djembe sous la poitrine
Un griot dans la gorge
Une aura de rappeur que j’transpire
Par tous les pores tu peux me porter l’œil
Concocter tous les sorts
Jamais tu ne souilleras ce
Temple qu’est mon corps
Piégé entre le réel et le rêve
Le cruel et le miel
L’influence où l’amour parlée par nos lèvres
J’essaie d’être à l’image de ce que j’prêche
Mais c’est raturer les pages
La plume et la chair fraîche
Effet de serre spirituel, sécheresse spinéale
Jeunesse sans repère en quête d’idéal
Le tube cathodique enchaîné à leurs cranes
Méthodiquement applique ce que dicte l'image
Encore un soir où il pisse des glaives
De l’encre sur la peau
Mes poèmes vomissent mes rêves
Ma voix s’endort et rase les murs
Le silence est d’or comme ma foutue armure
Marteau et enclume
Une fournaise dans la gorge
Un charisme animal
La bête est sortie de sa forge
A l’aide de quelques feuilles
Et quelques métaphores
J’ai métamorphosé ma caverne en
Un château fort
Piégé entre la matière et l’esprit
Les éléments s’impriment
Mais le cœur à beau prier, il crie au crime
J’essaie d’être à la hauteur de mes lettres
Mais au vu d'mes dérapages
C’est mort il faut bien l’admettre
Sortilège et rituel, autel et piédestal
Un stylo et une aurore boréale
L'ombre de géants, j’ai dû m’habituer
J’crois tout simplement à
Me laisser manipuler