Ekoué - Jamais trop paroles de (lyrics)
[Ekoué - Jamais trop paroles de lyrics]
On règle nos affaires en famille
On s’habille sans strass
On péra sans stress même
Quand l’envie nous presse
Le temps est précieux à mes
Yeux comme l’argent du pétrole
Alors pourquoi finir vieux
Paumé en métropole?
Les plages de Marrakech, wesh
Sont presque aussi cramées que
Celles de Saint Tropez
N’empêche, quand j’pense à tous ceux en
Calèche pour huit piges minimum
J’me dis qu’c’est beau la vie
De s’réveiller sans torticolis
Mon meilleur pote a investi à Phuket
Avec l’argent des Ass’dec bsartek
Même si le destin tragique
Des quartiers périphériques
Sincèrement m’touche
Mais pas au point d’enculer des mouches
Je reste un homme avec ses faiblesses
Qui reste sensible au pif comme
Au tarpé d’une déesse
De toute façon tout n’est que liasses
Business je n’me fais plus d’illusion
Car l’amitié a été reléguée
En quatrième division
On n’en fait jamais trop
À peine c’qu’il faut pour égarer
Les sdek dans leur acharnement
Qui vend autant d’mixtapes que Tariq Ramadan
Mec, il n’y a rien qu’j’t’apprends
Provocateur, mais menteur comme Materazzi
Les condés perdent leur sang-froid quand
J’insulte toute leur family
Sans même une mise à pied
Bien sûr que si qu’il y a des sous-métiers
C’est tellement facile à vérifier
Mon style a frôlé la peine capitale
Aussi dangereux qu’un fusil d’épaule
Entre les mains d’un attardé mental
D’Élancourt à Trappes, une chose est sûre
J’rappe j’sais ap mais rien qu’j’dérape
C’est chez oim que ça débite
C’est chez Skyrock que généralement
Ça suce des bites
C’est chez oit que ça s’mange des godes
C’est chez Pat qu’on sort des fat prods
On n’en fait jamais trop
À peine c’qu’il faut pour égarer
Les sdek dans leur acharnement
Qui vend autant d’mixtapes que Tariq Ramadan
Mec, il n’y a rien qu’j’t’apprends
Ah yeah, EKOUÉ, mon bad boy PAT
Dédicacé, Ouest de Paris, poto Bacari
Le BAVAR, la RUMEUR, An-falsh, Specio
À tous les frères derrière les barreaux
On s’habille sans strass
On péra sans stress même
Quand l’envie nous presse
Le temps est précieux à mes
Yeux comme l’argent du pétrole
Alors pourquoi finir vieux
Paumé en métropole?
Les plages de Marrakech, wesh
Sont presque aussi cramées que
Celles de Saint Tropez
N’empêche, quand j’pense à tous ceux en
Calèche pour huit piges minimum
J’me dis qu’c’est beau la vie
De s’réveiller sans torticolis
Mon meilleur pote a investi à Phuket
Avec l’argent des Ass’dec bsartek
Même si le destin tragique
Des quartiers périphériques
Sincèrement m’touche
Mais pas au point d’enculer des mouches
Je reste un homme avec ses faiblesses
Qui reste sensible au pif comme
Au tarpé d’une déesse
De toute façon tout n’est que liasses
Business je n’me fais plus d’illusion
Car l’amitié a été reléguée
En quatrième division
On n’en fait jamais trop
À peine c’qu’il faut pour égarer
Les sdek dans leur acharnement
Qui vend autant d’mixtapes que Tariq Ramadan
Mec, il n’y a rien qu’j’t’apprends
Provocateur, mais menteur comme Materazzi
Les condés perdent leur sang-froid quand
J’insulte toute leur family
Sans même une mise à pied
Bien sûr que si qu’il y a des sous-métiers
C’est tellement facile à vérifier
Mon style a frôlé la peine capitale
Aussi dangereux qu’un fusil d’épaule
Entre les mains d’un attardé mental
D’Élancourt à Trappes, une chose est sûre
J’rappe j’sais ap mais rien qu’j’dérape
C’est chez oim que ça débite
C’est chez Skyrock que généralement
Ça suce des bites
C’est chez oit que ça s’mange des godes
C’est chez Pat qu’on sort des fat prods
On n’en fait jamais trop
À peine c’qu’il faut pour égarer
Les sdek dans leur acharnement
Qui vend autant d’mixtapes que Tariq Ramadan
Mec, il n’y a rien qu’j’t’apprends
Ah yeah, EKOUÉ, mon bad boy PAT
Dédicacé, Ouest de Paris, poto Bacari
Le BAVAR, la RUMEUR, An-falsh, Specio
À tous les frères derrière les barreaux