Fayçal - Heures éternelles paroles de (lyrics)

[Fayçal - Heures éternelles paroles de lyrics]

Des heures de déchéance quand
La détresse importune
Entre les échéances, le stress
La chance et l’infortune
Des heures de rêves obstinés
L’espoir comme renfort
À croire en réconfort qu’il
Achève nos destinées
Des heures d’obscurité lorsque nos
Prunelles se plissent
Éternelle insécurité dans ce tunnel
Sans mes complices
Des heures d’adversité qui
Remplissent ma vigilance
Les perversités s’accomplissent
Avec diligence des heures de clémence
Obnubilé par des ratures
À jubiler sur des romances
Nubiles et immatures
Des heures de démence à choyer des intentions
Voyez comment les tensions et


Les prétentions commencent
Des heures à convoyer des
Émotions bien éloquentes tous dévoyés
Nos commotions sont si fréquentes
Des heures à guérir l’amour
Dans un for intérieur
Par des efforts à s’aguerrir
Pour les jours postérieurs
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité

Des heures à se défendre car
Des camps se destituent
À se pourfendre, nos carcans se constituent
Des heures où l’insouciance se
Perd et nous transforme
Puis nos repères se déforment
Et exaspèrent notre conscience
Des heures à étendre nos
Peurs et leurs sensations
À souvent entendre un cœur et ses pulsations
Des heures où le vent du
Silence est une relique
Parce qu’en se levant face
À l’insolence il réplique
Des heures où la bêtise
Et la stupidité soulagent
Où la cupidité s’attise quand
L’avidité prend de l’âge
Des heures où les rouages
De leurs méthodes détonnent
Où mes codes sont leurs
Outrages: rien ne m’étonne
Des heures où des liens
S’affranchissent et se cimentent
Où le mal et le bien se
Mentent et réfléchissent sur les miens
Des heures où il s’avère
Que nos armures fléchissent
Mais les revers les plus sévères
Comme les murs se franchissent
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité

Des heures à débattre
Prêt à colmater nos brèches
À se hâter de combattre
Formater par de faux prêches
Des heures où l’important
Diffère de l’essentiel
Où mes frères se réfèrent au
Ciel et vocifèrent en s’emportant
Des heures à s’incliner devant ce
Temps qui nous possède
À décliner tout ce qui souvent nous obsède
Des heures à compromettre nos
Vies par les déraisons
Nos envies par des oraisons car
Nous ne faisons que promettre
Des heures à revenir invalide de nos liaisons
Portant nos souvenirs
Nos chrysalides à chaque saison
Des heures à pressentir que
L’avenir nous rejette à ressentir
À consentir le devenir qu’on se projette
Des heures sur la frontière
Entre vivre et exister
Résister sur la terre entière
Survivre et subsister
Des heures à se permettre de rire
De revendiquer
À admettre qu’on peut sourire sans abdiquer
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité
Des heures qui s’illuminent
Des heures où s’effondre le Monde
Des heures où l’on s’élimine à
Se morfondre dans l’immonde
Des heures où se fécondent le
Bonheur et les vanités
À confondre les secondes et
Ces heures d’éternité

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