Fayçal - Seize à mes sources paroles de (lyrics)

[Fayçal - Seize à mes sources paroles de lyrics]

À mes oraisons détruites
Aux raisons que je me suis faites
Aux victoires fortuites
À quand je méritais pas défaite
À l'histoire jamais refaite
Aux bagarres à dix-sept
Aux regards pleins de disette
Aux étés salle des fêtes
À mes sémaphores mes stigmates
À ceux pour qui je compte
Pour le peu sur qui je compte
Jamais été fort en maths
Aux efforts de paix, à l'art de la guerre
L'ennemi d'aujourd'hui, de naguère
Vaut mieux que l'ami qu'en aspect
À quand on traçait tous hilares
À nos échappées
À nos armures devenues épées
À nos peurs devenues kevlar aux murs tenus
Quand fallait pousser le délire
Aux heures passées en retenue
Jamais pensé qu'on allait me lire
Au bonheur qui s'effleure
Aux quelques rancœurs en laiton
Aux artères en béton
Aux cœurs encore en fleurs
Noires catacombes
À ce que surplombe Le Tout-Puissant
Ce qui succombe en rugissant
Au soir qui tombe en rougissant
Seize à mes sources
Là d'où jaillit l'inspiration
Tout ce qui m’ébahit me fout la frousse
Sur des braises mes respirations

À l'ombre d'un doute
Aux spots qui furent braqués
Aux potes qu'ont pas craqué quand
C'était sombre sur la route
À la pluie sur la vitre
Au soleil sur la porte
À ces nuit's qui à plus d'un
Titre réveillent nos âmes mortes
À ces drames qu'on passe à gauche
Et que le vent balaie
À ces larmes qu'on a mis sur veille
Aux grands espaces qui s'ébauchent
Aux peines chronophages
Aux carapaces qui se fracassent
Aux scènes près du chauffage au
Fond de la classe, dédicace
Aux problèmes soulevés, aux réponses pesantes
À ceux à même de s'élever
De rendre des ronces apaisantes
À ma destinée au sacré
Aux toises que l'on prendra
Aux corps dessinés à la craie
Aux ardoises que l'on rendra
À la terre qui s'éteint et à
Lucifer qui alluma mes tehs
À la brume qui prolifère quand tout m'étreint
Tout ce à quoi il faut se faire, aux miens
Ça va bon train tant que vont
Bien loin de ces chemins d'enfer

Seize à mes sources
Là d'où jaillit l'inspiration
Tout ce qui m’ébahit me fout la frousse
Sur des braises mes respirations
Aux trophées que nous grappillions, aux cons
Leurs gueules en berne
Aux cocons où, seuls, on hiberne
Aux effets papillons
Aux prières auxquelles on se fie
Aux bons mis de côté
Aux ponts qui vont sauter
Aux barrières qui s'édifient
Aux lendemains qui se préparent
Aux batailles que l'on gagne en contre
Aux longs chemins qui se séparent
Aux montagnes qui se rencontrent
À mes prisons dorées, grosse caisse
Caisse claire
À l’orée bosse mes coups d'éclair
Aux blasons à redorer
Aux chaînes insectionnées
Aux erreurs qui hantent cruellement
À la fureur des éléments qui
Se déchaînent pour sanctionner
À l'envers du décor, à nos crânes à l'endroit
Aux peaux d'âne sur le sentier droit
À nos désaccords
À ceux irrités, trop entiers
À qui méritait le meilleur
Aux vérités d'ailleurs, aux quelques amitiés
À l'envie de ravir les
Prises d'antenne qui desservent
Aux centaines de monts à gravir, la vie
Les surprises qu'elle réserve

Seize à mes sources
Là d'où jaillit l'inspiration
Tout ce qui m’ébahit me fout la frousse
Sur des braises mes respirations

Seize à mes sources

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