L’Armée des 12 - Ils m'observent paroles de (lyrics)
[L’Armée des 12 - Ils m'observent paroles de lyrics]
Applaudis en ricanant
C'est hilarant: Hillary Clinton!
Enchaîne un uppercut et pille la banque
Cicatrise pile-poil sur scène un super truc
C'est si navrant si la tise m'y mène
Utilise un viseur et vise la
Jambe en criant "Corn Flakes"
J'l'observe quand il croise mon
Regard lubrique et cerné
Il s'prosterne, des inconnus parlent
Ça me fait sourire des cascadeurs?
Des fois j'les raconte à mes frères
Et puis ça les enchantent
Ils se transforment en Super Kai et
Experts dans l'art du découpage
Mais c'est du pipeau, woh oh
Des mythos, putes, qui jouent de la flûte
De si beaux spécimens rechargeables
Ils ne s'arrêtent plus
Des semaines ils bavardent et crachent
Leur venin de pédés
Personne ne peut nous toucher
Faites ce que l'on fait
Sachez que nos paroles vont tâcher
Hacher certaines cervelles
Ils me cherchent
File vite en HP, accède aux cachets de Prozac
"Ça s'propage" disent-ils en murmures
Six styles en salle pleine de propane
J'passe aux armes, ça allège mon malaise
En gros plan c'est pôle position:
Scission de fictions, c'est si chiant
Distant de mon existence décisive, mon
Silence est hybride, mystique
Le cœur d'un cellulaire bat
C'est l'appel des euros
Les chiffres et les lettres, gars
Ont l'premier rôle
Ambiance d'haineux comme pour cent millions
Noisy le-Sec, un cendrier
T'as mieux où ça t'semble mignon?
Saphir un sang-mêlé, mon vieux
À la recherche de sa Cendrillon
Dur d'être apprécié sans briller
Surtout dans c'milieu un prix élevé
Est-ce l’embryon de la fortune?
"Cris et vices" c'est l'nom d'ma rue
L'effort paie
Ils m'observent
Leur cannibalisme est monaitaire
Candidat libre, j'expose mes termes
Ils vendent l'adrénaline, mon monde est terne
Ils pensent qu'on glande l'après midi
Hiver-été
Le sens du plan? Dur de comprendre après
Minuit et dix verres de whisky
On m'a mis dos au mur pour que j'coopère
Avoue que c'est sordide qu'ils me
Coordinent avec le notaire
Le fisc est l'auteur d'une colonie
Qui vocifère des propos austères
Font nos horoscopes sur nos automobiles
De Cordoue jusqu'à Poitiers, ça parle mortel
J'suis Arabe des deux moitiés
J'emmerde Charles Martel
Mon Akaï S2008 est un sorcier
Qui me sortira du quai des Orfèvres
En continu et sans obsèques?
Indigène d'un autre continent au dessus
Du Tropique du Cancer
M'abritant, m'abreuvant de leurs abricots
Afin de pouvoir me
Casser un jour vers le Tropique du Capricorne
Lorsque la nuit tombe un vrai mac
S'assure toujours qu'il est bien habillé
Dans les rues sombres des
Putes blondes murmurent
L'amour pour le prix d'un billet
Le long des boulevards bordés de palmiers on
Aperçoit des égouts s'échapper la fumée
Des idées si froides que sur les
Pare-brises des Cadillacs s'accumule la buée
Ça sent l'cigare, et le
Cuir des clubs sordides, imagine la virée
Accompagné de pures bombes
Un vrai mac s'assure toujours
Qu'il est bien entouré
Allez Tekk, jette cette pin-up
Kleenex nickel
Dans son slip c'est la piscine, du piment?
Six ans de bilans débiles, de fil en aiguille
Elle pisse en baisant
Peignant des panneaux de
Psychopathie l'aidant c'est planant
Elle s'nique en léchant des salopes
Empresse-toi! Ingurgite notre bière bio
Puis regarde-moi d'un œil myope en kiosque
Garde donc le cierge au chaud
Mieux: met donc Miossec en fiole!
Opiniâtre comme Colina
Tu es le copycat de ton idole
Excommunié tu auditionnes dans un
Mauvais rade de scopitones
Les insectes
Seul dans cette immense pièce où
Parfois les dimensions se réduisent
Mes verres s'éclaircissent dans le noir
Je vois des grands espaces
J'me tape des barres de rires
J'me casse le bide
Mes idées se multiplient, passer
Dans mes filtres, voilà ce qu'ça donne
La sauce se solidifie
J'exprime son volume en hectolitre
Dans la fraîcheur de l'écume des
Matins les bruit's s'amplifient
Détecte des détériorations
Mec dis qu'j'te terrorise débecte tes pairs
Ton pectoral saute d'un jet d'météorites
J'déteste tes Mackies qu'ont des lacunes
Mon pote Hakim les immacule
Au contact de mon ton-car, dûment compact
C'est ton compte à rebours
Savoure ma pourriture avec amour
Même si t'as pas l'habitude
C'est de la bonne nourriture
Donc accoure la jalousie
(Savoure ma pourriture avec amour
Même si t'as pas l'habitude
C'est de la bonne nourriture
Donc accoure la jalousie)
Attirés par la lumière
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(En fumant des gros joints d'Afghan)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(En tisant des packs de 16)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(Ce sentiment de laisser-aller)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(Gentiments défenestrés)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(En fumant des gros joints d'Afghan)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(En tisant des packs de 16)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(Ce sentiment de laisser-aller)
C'est hilarant: Hillary Clinton!
Enchaîne un uppercut et pille la banque
Cicatrise pile-poil sur scène un super truc
C'est si navrant si la tise m'y mène
Utilise un viseur et vise la
Jambe en criant "Corn Flakes"
J'l'observe quand il croise mon
Regard lubrique et cerné
Il s'prosterne, des inconnus parlent
Ça me fait sourire des cascadeurs?
Des fois j'les raconte à mes frères
Et puis ça les enchantent
Ils se transforment en Super Kai et
Experts dans l'art du découpage
Mais c'est du pipeau, woh oh
Des mythos, putes, qui jouent de la flûte
De si beaux spécimens rechargeables
Ils ne s'arrêtent plus
Des semaines ils bavardent et crachent
Leur venin de pédés
Personne ne peut nous toucher
Faites ce que l'on fait
Sachez que nos paroles vont tâcher
Hacher certaines cervelles
Ils me cherchent
File vite en HP, accède aux cachets de Prozac
"Ça s'propage" disent-ils en murmures
Six styles en salle pleine de propane
J'passe aux armes, ça allège mon malaise
En gros plan c'est pôle position:
Scission de fictions, c'est si chiant
Distant de mon existence décisive, mon
Silence est hybride, mystique
Le cœur d'un cellulaire bat
C'est l'appel des euros
Les chiffres et les lettres, gars
Ont l'premier rôle
Ambiance d'haineux comme pour cent millions
Noisy le-Sec, un cendrier
T'as mieux où ça t'semble mignon?
Saphir un sang-mêlé, mon vieux
À la recherche de sa Cendrillon
Dur d'être apprécié sans briller
Surtout dans c'milieu un prix élevé
Est-ce l’embryon de la fortune?
"Cris et vices" c'est l'nom d'ma rue
L'effort paie
Ils m'observent
Leur cannibalisme est monaitaire
Candidat libre, j'expose mes termes
Ils vendent l'adrénaline, mon monde est terne
Ils pensent qu'on glande l'après midi
Hiver-été
Le sens du plan? Dur de comprendre après
Minuit et dix verres de whisky
On m'a mis dos au mur pour que j'coopère
Avoue que c'est sordide qu'ils me
Coordinent avec le notaire
Le fisc est l'auteur d'une colonie
Qui vocifère des propos austères
Font nos horoscopes sur nos automobiles
De Cordoue jusqu'à Poitiers, ça parle mortel
J'suis Arabe des deux moitiés
J'emmerde Charles Martel
Mon Akaï S2008 est un sorcier
Qui me sortira du quai des Orfèvres
En continu et sans obsèques?
Indigène d'un autre continent au dessus
Du Tropique du Cancer
M'abritant, m'abreuvant de leurs abricots
Afin de pouvoir me
Casser un jour vers le Tropique du Capricorne
Lorsque la nuit tombe un vrai mac
S'assure toujours qu'il est bien habillé
Dans les rues sombres des
Putes blondes murmurent
L'amour pour le prix d'un billet
Le long des boulevards bordés de palmiers on
Aperçoit des égouts s'échapper la fumée
Des idées si froides que sur les
Pare-brises des Cadillacs s'accumule la buée
Ça sent l'cigare, et le
Cuir des clubs sordides, imagine la virée
Accompagné de pures bombes
Un vrai mac s'assure toujours
Qu'il est bien entouré
Allez Tekk, jette cette pin-up
Kleenex nickel
Dans son slip c'est la piscine, du piment?
Six ans de bilans débiles, de fil en aiguille
Elle pisse en baisant
Peignant des panneaux de
Psychopathie l'aidant c'est planant
Elle s'nique en léchant des salopes
Empresse-toi! Ingurgite notre bière bio
Puis regarde-moi d'un œil myope en kiosque
Garde donc le cierge au chaud
Mieux: met donc Miossec en fiole!
Opiniâtre comme Colina
Tu es le copycat de ton idole
Excommunié tu auditionnes dans un
Mauvais rade de scopitones
Les insectes
Seul dans cette immense pièce où
Parfois les dimensions se réduisent
Mes verres s'éclaircissent dans le noir
Je vois des grands espaces
J'me tape des barres de rires
J'me casse le bide
Mes idées se multiplient, passer
Dans mes filtres, voilà ce qu'ça donne
La sauce se solidifie
J'exprime son volume en hectolitre
Dans la fraîcheur de l'écume des
Matins les bruit's s'amplifient
Détecte des détériorations
Mec dis qu'j'te terrorise débecte tes pairs
Ton pectoral saute d'un jet d'météorites
J'déteste tes Mackies qu'ont des lacunes
Mon pote Hakim les immacule
Au contact de mon ton-car, dûment compact
C'est ton compte à rebours
Savoure ma pourriture avec amour
Même si t'as pas l'habitude
C'est de la bonne nourriture
Donc accoure la jalousie
(Savoure ma pourriture avec amour
Même si t'as pas l'habitude
C'est de la bonne nourriture
Donc accoure la jalousie)
Attirés par la lumière
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(En fumant des gros joints d'Afghan)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(En tisant des packs de 16)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(Ce sentiment de laisser-aller)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(Gentiments défenestrés)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(En fumant des gros joints d'Afghan)
On ignore tous la cause (tous la cause)
(En tisant des packs de 16)
On s'isole jusqu'à l'aube (jusqu'à l'aube)
(Ce sentiment de laisser-aller)