Le célèbre Bauza - Tiécar paroles de (lyrics)
[Le célèbre Bauza - Tiécar paroles de lyrics]
Ils veulent ma tête sur leur capot
Sur leur chapeau j’pisse
Sur ta peau j’pisse, hisse un drapeau
Pis-tolet à la ceinture
J’reconnais ton ossature
Trop de haine en moi pour
Toi parfois mon cerveau sature
Dure depuis longtemps, bavure sur un bavoir
C’est nous contre nous
Ainsi ils nous ont contenus
On s’en rend même pas compte au tiécar
Tellement quand t’as l’con on a qué-cra
C’est pas qu’on est cons, on est més-cra
Les voisins voient ça, ils qué-cra
Appellent les policiers pour te qué tra
En faction en bas de chez toi
Ils m’trouveront pas ce soir
J’fais l’tour de Paname en C3
Même cagoulé tout l’monde sait qu’c’est toi
Tombé cette fois mais on s’excite pas
Plus sexuel que sexy tu mouilles si
On sait qu’tu cé-su toi
À ton âge pas d’taf, pas d’cash
Pas d’caisses quatre mômes, pas d’diplôme
Ça, c’est sans issue
Assassinat déguisé en suicide, ça
Nos mères, sur leur trajet s’disent ça
Si j’reste ghetto c’est une tragédie mais
J’insiste pour les cistes ra
Me dis qu’mon disque résistera
D’Abidjan ou de Biskra
Reste discret si t’as pas d’gent
Mon art est martial pour leur cour
Car ils disent que ça
Dégénère sans évoquer l’origine
Au tieks, au ghetto, dans la tess
Dans l’hood, dans la rue, dans l’bat
Enfin bref, au tiéca-a-ar
Car, on perd, le quart, ou le tiers, des gars
Qui s’éga-a-arent pour le bif, les pépètes
La fraîche, l’oseille, les pierres
Enfin bref, la ma-a-aille
Coup d’tête, coup dur, coup
D’bottes, coup d’batte, coup d’feu
Coup de Trafalgar
J’ai jamais fait la course au
Lycée pour toucher la bourse
Avec la liasse dans ma
Poche j’payais la bouffe
La cantine, steak lentilles
Ça va j’m’en tire c’est nous les sauvages
Ha! Ces gens savent mentir
Exclu de l’université
Détenu dans l’univers de la cité
Élu à la majorité, minorité représentant
Sans voler Mouss s’est fait
Menotter plus d’une fois avec ma voix
J’viens vous faire perdre plus d’une voix
La rue nous baise
On accouche de petit's frères au vice obèse
Qui croient faire
Folles thèses mais telles sont les
Synthèses de nos vies
Pour toi j’débarque d’un vaisseau spatial
Tu m’connais d’après Envoyé Spécial
(Victime du tiéks, victime du tiéks
Victime du victime du victime du tiéks)
Ces journalistes n’hésitent pas et
Publient des torchons
Un torchon au bout d’une bouteille boum
Nous rétorquons
Trop tard pour savoir qui a tort, ça torpille
À tort, et à travers la ville
La peur imprégnée dans vos villes synonyme
De la douleur de nos vies
Au tieks, au ghetto, dans la tess
Dans l’hood, dans la rue, dans l’bat
Enfin bref, au tiéca-a-ar
Car, on perd, le quart, ou le tiers, des gars
Qui s’éga-a-arent pour le bif, les pépètes
La fraîche, l’oseille, les pierres
Enfin bref, la ma-a-aille
Coup d’tête, coup dur, coup
D’bottes, coup d’batte, coup d’feu
Coup de Trafalgar
Sur leur chapeau j’pisse
Sur ta peau j’pisse, hisse un drapeau
Pis-tolet à la ceinture
J’reconnais ton ossature
Trop de haine en moi pour
Toi parfois mon cerveau sature
Dure depuis longtemps, bavure sur un bavoir
C’est nous contre nous
Ainsi ils nous ont contenus
On s’en rend même pas compte au tiécar
Tellement quand t’as l’con on a qué-cra
C’est pas qu’on est cons, on est més-cra
Les voisins voient ça, ils qué-cra
Appellent les policiers pour te qué tra
En faction en bas de chez toi
Ils m’trouveront pas ce soir
J’fais l’tour de Paname en C3
Même cagoulé tout l’monde sait qu’c’est toi
Tombé cette fois mais on s’excite pas
Plus sexuel que sexy tu mouilles si
On sait qu’tu cé-su toi
À ton âge pas d’taf, pas d’cash
Pas d’caisses quatre mômes, pas d’diplôme
Ça, c’est sans issue
Assassinat déguisé en suicide, ça
Nos mères, sur leur trajet s’disent ça
Si j’reste ghetto c’est une tragédie mais
J’insiste pour les cistes ra
Me dis qu’mon disque résistera
D’Abidjan ou de Biskra
Reste discret si t’as pas d’gent
Mon art est martial pour leur cour
Car ils disent que ça
Dégénère sans évoquer l’origine
Au tieks, au ghetto, dans la tess
Dans l’hood, dans la rue, dans l’bat
Enfin bref, au tiéca-a-ar
Car, on perd, le quart, ou le tiers, des gars
Qui s’éga-a-arent pour le bif, les pépètes
La fraîche, l’oseille, les pierres
Enfin bref, la ma-a-aille
Coup d’tête, coup dur, coup
D’bottes, coup d’batte, coup d’feu
Coup de Trafalgar
J’ai jamais fait la course au
Lycée pour toucher la bourse
Avec la liasse dans ma
Poche j’payais la bouffe
La cantine, steak lentilles
Ça va j’m’en tire c’est nous les sauvages
Ha! Ces gens savent mentir
Exclu de l’université
Détenu dans l’univers de la cité
Élu à la majorité, minorité représentant
Sans voler Mouss s’est fait
Menotter plus d’une fois avec ma voix
J’viens vous faire perdre plus d’une voix
La rue nous baise
On accouche de petit's frères au vice obèse
Qui croient faire
Folles thèses mais telles sont les
Synthèses de nos vies
Pour toi j’débarque d’un vaisseau spatial
Tu m’connais d’après Envoyé Spécial
(Victime du tiéks, victime du tiéks
Victime du victime du victime du tiéks)
Ces journalistes n’hésitent pas et
Publient des torchons
Un torchon au bout d’une bouteille boum
Nous rétorquons
Trop tard pour savoir qui a tort, ça torpille
À tort, et à travers la ville
La peur imprégnée dans vos villes synonyme
De la douleur de nos vies
Au tieks, au ghetto, dans la tess
Dans l’hood, dans la rue, dans l’bat
Enfin bref, au tiéca-a-ar
Car, on perd, le quart, ou le tiers, des gars
Qui s’éga-a-arent pour le bif, les pépètes
La fraîche, l’oseille, les pierres
Enfin bref, la ma-a-aille
Coup d’tête, coup dur, coup
D’bottes, coup d’batte, coup d’feu
Coup de Trafalgar